Randonnée des Orchidées à Boissy Saint-Léger (13/09/15)

7 participants : Alain A., Didier A., François B., Gil G., Henri H., Claude L., Emmanuel S.
Distance : suivant les parcours.

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D’aucun dirait que 7 h c’est tôt…d’autres diraient, la pluie ce n’est pas mon truc…Le fait est, la grenouille a du appuyer sur certains réveils. Comme dit le proverbe chinois « quand la grenouille croasse, le réveil trépasse ».
Nous étions sept, de petit matin, à préparer les vélos sous un ciel aussi voilé que la brume était épaisse. Emmanuel S, Claude L, Alain A, Gil G, Henri H, François B et Didier A avec 110 km prévu au programme. Pas besoin d’être fort en math pour comprendre que sur le 110 km, avec des averses prévues pour11h30/12 h, on avait des fortes chances de laver les vélos gratis.
La première partie du parcours s’effectue donc dans une brume, une bruine, un brouillard (cocher la bonne case) ou tout à la fois. Nous perdons Emmanuel assez rapidement. Fort heureusement le fléchage orange nous guide.
Premier arrêt à Courquetaine après une bonne trentaine de kilomètres. Puis on file sur Chaumes-en-Brie et la Houssaye-en-Brie.
Là, les plus prévoyants ou les plus prudents (cocher la bonne case) s’orientent sur le 90. Les plus téméraires ou les plus courageux (cocher la bonne case) – je sais, ça fait un peu de boulot de tout le temps cocher - bifurquent sur le 110.
Nous roulons sur des portions de route mouillées, signe que la pluie nous a précédées. Mais d’eau sur nos casques nenni ! Après Ozoir-la-Ferrière, nous prenons un itinéraire bis bien malgré nous. Au lieu de faire Lésigny-Santeny, nous passons par Férolles-Attilly et retrouvons Santeny après Servon. Il semblerait que la punition se soit soldée par une privation de cake; nous n’aurons eu que le contrôle de Courquetaine pour rassasier nos appétits féroces. Fort heureusement l’encas de nos poches calma un peu nos faims.
Nous arrivons à Boissy-Sain-Sec et Léger. Une plaque sur le bâtiment nous rappelle que Didier Pironi est l’enfant de la ville. Nous avons le temps de discuter un peu, de rejoindre nos pénates quand le ciel crève.
Qu’en aura-t-il été pour nos comparses Gil, Claude et François nos centdixistes ? Nous le saurons lors du prochain rendez-vous…le suspense est insoutenable ! Le Narrateur : Didier A.