11 mai 2014
Tour de l'Essonne (11/05/14)
11 Participants : Alain A., Didier A., Patrice B., François B., Christelle C., Gil G., Henri H., Patrick L-C, Frédéric M., Jean-François N., Just de V.
Distance : 170 km
Distance : 170 km
Tour de l’Essonne ou Tour de l’essore ?
Au départ le vent nous contrarie mais point d’eau. Puis assez rapidement nous sentons quelques gouttes. Enfin quelqu’un branche la machine à laver !
Nous sommes relativement secs au premier contrôle … puis la machine à laver démarre … lavage, rinçage, essorage et pas forcément dans le bon ordre. J’oubliais le séchage entre deux, au vent tourbillonnant comme au bon vieux temps des lavandières! Surement, passant près des lavoirs, leurs fantômes goguenards nous regardaient passer.
Christelle chute sans gravité sur un ralentisseur; pas de lessive pour elle en rentrant, ses vêtements sont râpés !
Heureusement les ravitaillements se font au sec. Après la collation nous touchons du vent favorable … mais nous touchons aussi de la pluie, de vraies trombes d’eau excitées par le vent. Ca cingle ! Et puis les bosses …
Au déluge nous en essuyons un ! Maintenant nous savons (de Marseille pour la douche) pourquoi ce nom de lieu-dit !
La descente se fait sous la pluie et miracle plus de pluie pour l’Escargot. Entre nous, il devait y en avoir un paquet à nous regarder passer (je parle des gastéropodes).
Le dénivelé n’était pas très important (1200 m, je crois) mais le vent et la pluie nous ont rincés. Si j’aurais su, j’aurais pas venu ! Mais … En arrivant une coupe nous attend … une coupe à dominante bleu comme nos maillots !
Finalement nous n’aurons pas fait tous ces efforts pour rien. Et tout le monde la mérite cette satanée coupe; les plus forts comme les moins forts, parce qu’il fallait quand même le faire ce Tour de l’Essonne 2014 !
En rentrant rebelote … les tenues à la machine, lavage, rinçage, essorage et séchage au vent peut -être … ?
Ce soir barbecue dans le jardin ! Le ciel est d’un bleu pur maintenant. Il y a toujours un peu de vent quand même … ensuite, pour se relaxer, on pourra revoir un film de Jean-Pierre moqueur … la grande lessive ! Pourquoi pas ? Le Narrateur : Didier A.
Frédéric M. arrive quand le groupe CSM13 du train bleu s’élance. Mais c’est sans compter avec Gil dont le réveil n’a pas sonné et qui se lève à 6h30, pour partir du départ Salle Anne Frank à 7h40. Bref petit désordre au départ.
Côté météo, ce n’était pas folichon, avec certes des éclaircies de soleil, mais aussi de belles averses. Le pire fut le vent. Sur le plateau de l’Essonne, il est saoulant et le cyclo sent bien les efforts qu’il prodige. Pour une côte on voit ou on connaît la fin, pour le vent on ne sait jamais. Ceci dit le vent était favorable quand on se dirigeait vers le sud-est, ce qui se produisit, mais pas souvent.
Départ avec peu de côtes, mais déjà du vent.
Premier contrôle de Moigny-sur-Ecole au km 54. Côte de Boutigny-sur-Essonne pour se mettre en jambes après le ravitaillement. Du vent, de la pluie et du vent et arrivée au contrôle de Saint Hilaire au km 114. Petite côte pour La Forêt-le-Roi, puis Marchais et Roinville. Pour finir, côte de Sermaise, de Saint-Maurice-Montcouronne, côte de Mulleron. On pense en avoir fini, mais il y a la petite dernière avec la côte de l’Escargot. Ouf c’est fini, sauf qu’à l’arrivée, le club de Longjumeau n’a validé que 7 CSM13 sur les 11 présents. Qu’importe, puisque nous sommes deuxièmes derrière Ballainvilliers, hors catégorie. Le Narrateur : Gil G.
Ils partirent à 10 et ne furent jamais rejoints par un Président rouleur solitaire en panne de réveil. Et rouler seul ce dimanche, il fallait le faire : grande fraîcheur, bourrasques de vent du sud-ouest et giboulées, tout était au programme, avec un peu d’avance sur les prévisionnistes de la météo. La pluie était attendue pour midi, nous en avons bénéficié dès 10 h au premier contrôle et pour ¾ d’heure de suite.
Miraculeusement lors du regroupement pour le pique-nique habituel, alors que les organisateurs étaient cramponnés à leur toile de tente pour éviter l’envol, nous pûmes profiter d’un rayon de soleil, le temps de retirer les impers, chose que nous n’aurions jamais du faire! En effet, dès la première des côtes qui suivaient, une pluie violente s’ abat sur le peloton frigorifié qui se réfugie quelques instant sous un pont, sauf Christelle qui, fidèle à une stratégie déjà éprouvée dans l’ascension du col de Bavella, en septembre dernier,en pareil circonstances, passe impériale et dégoulinante, sans s’arrêter, Christelle qui avait chuté auparavant sur un ralentisseur, trouant son collant tout neuf et blessée à la main. Mais les filles c’est bien connu, sont plus résistantes !
Le retour s’effectuera avec un vent plutôt favorable, une chevauchée entrecoupée d’averses et qui nous verra arriver à Longjumeau un peu avant 15 h et remporter l’habituelle coupe des plus nombreux hors 91.
170 kms qui laisseront des souvenirs et peu de regrets aux absents partisans de la couette. Le Narrateur : Alain A.
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