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CSM13
24 mai 2005

A consulter sans modération

En attendant d'autres documents, que vous pouvez me poster à mon adresse habituelle.le_lac_du_d_en_haut1

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Commentaires
P
Bravo pour votre blog. Trés complet et plein d'info pour les membres. Une question : quel sont les critères de pts pour dresser le classement du club ?<br /> Je suis également membre et responsable d'un club de la région Marseillaise, (d'ailleur on ne dit pas : les côtes du 13 mais les bosses du 13 !) et animateur d'un blog sur canalblog :http://cyclospdc.canalblog.com/<br /> Je viens de rouler 3 semaine en règion Parisienne et je tiens à remercier les gars pour leur état d'esprit et leur belle façon de rouler. Les gars étaient de L'est Région Parisienne, de la route dite "stratégique" vers Courtry, Coubron et Villevaudé.<br /> Pour finir puis je mettre en lien votre blog sur le mien, pour le faire decouvrir au copain ?<br /> Merçi de me répondre en laissant un commentaire sur le blog car ma messagerie perso est inactive !<br /> Amicalement<br /> Pierro
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F
Bravo pour ce blog et surtout aux grimpeur de l'été.<br /> A bientôt,<br /> Frédéric T.
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S
Pour ce long week-end du 14 juillet ou nous étions à Lyon, nous avons décidé avec Michèle de participer à L’étape Beaujolaise ce dimanche. Pour ses grands débuts dans le monde du cyclosport, Michèle s’est inscrite sur le parcours « découverte » de 41 km. Quant à moi, pour ma 2nde cyclosportive, j’étais partant pour les 167 km et 3520 m de dénivelé du parcours « master » au coeur du vignoble, alternant les crus du beaujolais «rouge» jusqu’aux sapins du Beaujolais «vert», le circuit empruntant les cols de Brouilly (335 m), de St Bonnet (660 m), de la Croix Rosier (735 m), de la Croix Marchampt (703 m), les cols de champ-Juin (742 m), de Crie (633 m), de la Sibérie (638 m), du Fût d’Avenas (762 m) pour revenir à beaujeu.<br /> <br /> C’est sous la canicule que l’épreuve s’est déroulée avec 197 participants sur le parcours master, 203 sur le parcours senior et 26 pour le découverte. Je me plaçais avec Michèle sur la ligne de départ en queue de peloton, nos N° de dossards n’étant pas très favorables du fait de notre inscription tardive. Le speaker donna les consignes de sécurité, et une minute de silence fut observée en mémoire de la victime de la Marmotte juste avant que le maire de Belleville ne donna le départ. Et quel départ : n’ayant pas fait attention, je m’étais placé dans le sas des 41 km et je dus hélas attendre le départ du parcours senior avant de pouvoir partir ! <br /> <br /> La mise en jambes se fit donc à toute vitesse puisque je décidais alors de tout faire pour me rapprocher du 1er peloton que j’apercevais parfois mais que je n’allais jamais revoir. Le rythme est élevé, et un groupe que j’emmenais prend finalement le relais quand je commence à ralentir (heureusement car j’étais à la limite de la zone rouge). Les 1ères côtes arrivent, me permettant de voir que dans ce groupe d’une 30aine de cyclistes, nous sommes quelques bons grimpeurs. Nous décrochons parfois le groupe, mais sommes systématiquement rejoints dans les descentes et dans le plat. Enfin le col de Saint Bonnet arrive au 50ème km pour 10 km d’ascension, et la véritable sélection s’effectue. Je suis sorti du groupe, dépasse quelques concurrents et termine avec un groupe de 5. Dès lors, les difficultés s’enchaînent les unes aux autres. Les ascensions ne sont jamais très longues mais leur répétition opère un véritable travail de sape. Nous récupérons vers le 85km un groupe d’une 20aine de cyclos dont la plupart des éléments ne suivent pas le rythme. <br /> <br /> A cela, s’ajoute la chaleur de plus en plus marquée au fur et à mesure que l’on se rapproche de la mi-journée. Par moment, lors de la présence des ambulances qui nous ravitaillent en bouteilles d’eau tout en roulant, nous nous croyons à la télévision ! A l’arrivée du 2nd ravitaillement (km 95), nous ne sommes plus que 5 et s’opère à ce moment la, la division des parcours master et senior. La chaleur se fait sentir et j’hésite alors à prendre le petit parcours. Je regarde mon compteur qui affiche une moyenne de 30 km/h, ce qui me pousse à prendre le grand parcours, en me justifiant par le fait qu’il me faudra seulement une heure de plus par rapport au petit parcours pour terminer.<br /> <br /> Hélas, je suis le seul des 5 à partir sur le grand parcours (je reste d’ailleurs seul jusqu’à la fin) et j’entame alors l’ascension d’un nouveau col de 5km, ou mon rythme commence à faiblir et ou les 1ers effets de la chaleur se font sentir. Le parcours redescend ensuite vers Fleurie à 40km de l’arrivée ou nous attends le 3ème ravitaillement. Je me jette sous les robinets d’eau, mange un peu, rempli les bidons, demande la température ambiante (41°C) puis repart vers une ascension d’environ 6 km du col de Sibérie ou je n’ai jamais eu aussi chaud ! Cette ascension se fit lentement et laissera des traces…Car je redescend vers l’ultime difficulté du jour, le col du Fut d’Avenas qui me paraît interminable ! Il se transforme en galère avec le léger vent défavorable qui s’est levé et sans une ombre pour se rafraîchir... A 3 km du sommet, des arbres apparaissent enfin avec 2 autres cyclos qui se sont réfugiés : j’en fais de même jusqu’à ce qu’une voiture de course arrive à ma hauteur, me demande si tout va bien et me ravitaille une fois de plus en eau. Je repars, puis une fois ce dernier col franchi, il ne me reste plus qu’une vingtaine de kilomètres avant de rejoindre l’arrivée malgré des multiples "coups de cul" présents dans les 10 derniers kilomètres.<br /> <br /> <br /> Je termine 96ème sur 197 à 26,5 km/h de moyenne avec l’or et à 1h22 du 1er, 12ème sur 19 de ma catégorie.<br /> <br /> <br /> <br /> Quant à Michèle, après un démarrage plutôt lent et suivie par la voiture balai, elle accéléra et repris quelques concurrents dans les côtes de son parcours pour finalement terminer en 2h et 21ème sur 26 avec l’or. Elle fit ensuite 15 km supplémentaire pour aller chercher la voiture et eu la patience de m’attendre pendant 3h !<br /> <br /> <br /> Le déjeuner fut le bienvenu et se déroula dans une ambiance conviviale, même si le beaujolais ne fut pas très apprécié par cette chaleur. <br /> <br /> L’organisation était irréprochable, le parcours superbe. Je vous recommande cette épreuve, mais mieux vaut être prêt pour s’élancer.
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J
Comme vous le savez, de manière peut être inconsciente, j'avais décidé en début de saison de participer à l'étape du Tour.Ceux du club et d'ailleurs avaient évoqué auprès de moi l'ambiance très particulière de cette épreuve.<br /> Et bien, je n'ai pas été déçu!Arrivé le dimanche 10 juillet en début d'a.m après avoir salué porte de Chatillon ceux du CSM13qui s'apprêtaient à partir pour la sortie dominicale, j'ai été d'emblée conquis par l'ambiance qui régnait à Mourenx dans le village d'accueil à l'intérieur du vélodrome.<br /> Divers stands de mise au point pour le matériel , des animations dont la retransmission sur un écran géant de l'étape du jour....<br /> Rapidement dans le bain, je suis allé retirer mon dossard et laisser mon vélo au parc fermé.Plus moyen de faire marche arrière!<br /> Après une nuit entièrement blanche,(l'excitation de la course), me voilà prêt à partir dossard 4892 /7885 pour 181 kms en compagnie d'Olivier, un ami francais vivant à Londres, et d'un de ses amis anglais.<br /> Top départ à 7h, 7h18 pour nous, et tout de suite un rythme très élevé avec une concentration de cyclistes que l'on n'imagine pas.Après quelques hectomètres , une petite bosse suivie d'un parcours plutôt accidenté mais rapide dans l'ensemble.Avant d'attaquer la première difficulté, le col d'Ichère(km 51), nous étions déjà à + de 31 de moyenne.Le col fût avalé relativement facilement malgré un bouchon en milieu d'ascenscion.Descente piégeuse et étroite, quelques kms de plat avant d'attaquer le fameux col de Marie Blanque.<br /> Là, après 5 kms de montée régulière(42/25), la route se dresse brutalement pendant 4 kms à au moins 11% de moyenne!La course se met à ressembler à un long cortège de douleur.De plus en plus de coureurs s'arrêtent ou continuent à pied, je me sens faiblir, le cardio à 180 depuis 1 km au panneau "sommet à 2 kms" , lorsque "coup de sifflet tout le monde descend", je suis sauvé par le gong sous la forme d'un gigantesque bouchon.La course reprend après quelques centaines de mètres à pied, l'ambiance devient palpitante.<br /> Dès le départ, sous les premiers rayons du jour, de nombreux spectateurs encouragent les cyclistes , et à l'approche du sommet des cols, l'ambiance devient typique de celle que l'on peut resentir en suivant une véritable étape du tour à la télévision.<br /> Après Marie Blanque, ravito express au plateau de Béjou, puis descente ultra rapide suivie d'un plat jusqu'à Laruns au pied de l'Aubisque.A ce stade, ma moyenne est à 25km/h, et j'échafaude le projet d'aller chercher l'argent(7h46).Malheureusement, l'ascenscion de l'Aubisque va en décider autrement.Après un début très facile,(4-5kms), 12 kms de montée à plus de 8% en moyenne sous un cagnard écrasant auront raison de mon enthousiasme.Je dus poser le pied à terre 2 ou 3 fois avant de basculer vers la corniche de Litor précédant le col de Soulor, sans prendre vraiment le temps de jeter un oeil sur les paysages magnifiques.En haut de l'Aubisque, à nouveau les applaudissements nourris d'une foule de spectateurs très sensibilisés à l'effort pour ne pas dire la détresse de certains.Beaucoup de gentillesse et de marques de réconfort.<br /> Le Soulor passe assez bien avant une longue descente rapide et piégeuse(pas de glissiéres côté ravin,gravillon).Ensuite, un long faux plat descendant nous améne à la vitesse grand V <br /> à 20kms de Pau, et j'entrevois à nouveau l'argent!C'était sans compter sur les deux dernières bosses qui m'ont été fatales.Elles n'avaient rien de terrible comparées à ce que l'on peut gravir en région parisienne, mais je n'avais tout simplement plus de jus, plus rien dans les jambes.Aprés m'être arrêté une ou deux fois, je finis par rejoindre l'arrivée à 15h30, en 8h15, 4786 éme/7885,plutôt fatigué mais heureux de retrouver mes amis "anglais" arrivés 20m avant moi.<br /> En conclusion, après avoir décrété sitôt l'arrivée franchie, que l'on ne m'y reprendrait plus, j'évaluais en début de soirée ma participation à la prochaine édition , et pourquoi pas avec un peloton CSM13!
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J
un blog qui assure d'entrée de jeu... <br /> le coté interactif est plaisant et peut devenir trés pratique ... yapluka donc et bon courage pour la suite..<br /> jpierre O<br /> <br /> j'ai mis le lien en plusieurs endroits du site "historique" .. A bientôt... JPierre O
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